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SALAMANDRAGORE

16 mai 2015

ASIMOV : HISTOIRE DE ROBOTS

Je suis tombé sur cette vidéo en cherchant tout autre chose (une carte d'Ecosse !). Ça parle de robotique passée et future et donc des fameuses lois d'Isaac Asimov. On y voit, outre Asimov himself, Harlan Ellison, Kim Robinson, David Brin... et c'est présenté par Ridley Scott. Ne peut pas être inintéressant.

 
Prophète de science fiction[Isaac Assimov] S01E05 par grandeetoile

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14 mai 2015

LISTE FILMS DE L'IMAGINAIRE

Voici une liste en devenir, totalement subjective et certainement incomplète mais reflétant mes goûts en matière d'imaginaire. Quelques repères temporels et intemporels... (en cours).

1927

Fritz LANG : "Métropolis"

1968

Stanley KUBRICK : "2001, l'Odyssée de l'Espace"

"LE" film de SF, des origines à l'espace infini, de la vie à la vie, l'au-delà de la condition humaine. Il peut sembler aride ou incompréhensible, la clef, je crois, est de se laisser prendre par la main, Kubrick est un maître de l'image et Arthur C. Clarke un conteur formidable. Embarquez pour le grand voyage ! incontournable, inclassable, inaltérable.... inatteignable ?

1979

Ridley SCOTT : "Alien"

1982

Ridley SCOTT : "Blade Runner"

1984

Terry GILLIAM : "Brazil"

Longtemps mon film de chevet. Je le considère toujours comme l'un des meilleurs films de la seconde moitié du XXe siècle. Un mixe détonnant entre la noirceur de "1984" d'Orwell et l'humour déjanté des Monty Python. Au-delà de la vision d'une société où la tyrannie le dispute à l'absurde (comme souvent), je me suis attaché à ce jeune homme qui voit son rêve devenir réalité et la réalité se désagréger sous ses yeux.  Le constat est sombre, mais l'éveil de ce jeune homme sensible et doux (excellent Jonathan Price) a marqué d'une pierre blanche la figure du héros contemporain. CHEF-D'OEUVRE.

1989

James CAMERON : "Abyss"

2001

David LYNCH : "Mulholland Drive"

2005

Michel GONDRY : "Eternal Sunshine of the Spotless Mind"

2006

David LYNCH : "Inland Empire"

2006

Darren ARONFSKY : "The Fountain"

2010

Darren ARONFSKY : "Black Swan"

2 mai 2015

L'ECONOMIE DU DON

Une interview claire d'un économiste qui expose les risques d'une course toujours plus soutenue vers le profit. La croissance n'est pas la solution mais la fin. Il existe d'autres chemins, écoutez...

30 mars 2015

KANSAS

Je viens de dégoter un concert de Kansas sur You tube. Nous sommes en 1980, c'est la dernière fois que l'on verra ensembles les six membres du groupe créé en 1973. Steve Walsh, le chanteur, s'apprête à partir, une nouvelle ère commence avec cette nouvelle décennie qui a si peu réussie aux musiciens des seventies... Kansas est sans doute le groupe dont la musique m'a le plus marqué. À la fois, puissante et mélodieuse, symphonique et rock, toujours mélodique... À savourer...

(un petit détail, contrairement à l'image, le son n'est pas trop mal)

13 mars 2015

STURGEON Theodore

  Biographie

  (Etats-Unis, 1918-1985)

  Lire Theodore Strugeon, c'est entrer de plain-pied dans le royaume de la solitude, une solitude écrasante et inacceptable, née de l'infirmité mentale ou physique, de la différence, des conventions et des tabous, de l'isolement géographique, de la peur, de la haine ou de la frustration, de l'inadaptation foncière de l'individu dans la société.
 
          A lire l'intéressante biographie écrite par Marianne Leconte en préface au Livre d'Or de Theodore Sturgeon (Presses Pocket, 1978), nul doute que cette sensibilisation de l'écrivain aux affres de la solitude ne provienne de son enfance, passée dès l'âge de onze ans aux côtés d'un beau-père autoritaire avec qui il ne s'entendra jamais. D'où, très jeune, l'expérience de l'introversion et de ce sentiment qui découle d'une trop grande solitude, la haine. Haine qui sera exorcisée au fur et à mesure de l'oeuvre littéraire — une oeuvre pour l'essentiel constituée de nouvelles et qui débute en 1939 dans les pages d'Astounding — dans des textes comme Le contact de ta main (The touch of your hand, 1953, in le recueil  L'homme qui a perdu la mer, Livre de Poche, 1978) ou le fameux roman un des deux chefs-d'oeuvre de Theodore Sturgeon — Cristal qui songe (J'ai Lu, The dreaming jewels, 1950) qui conte les mésaventures du jeune Horty, obligé de fuir la maison de ses parents adoptifs qui le martyrisaient et de se réfugier dans un cirque de passage.
          Mais du fond de sa solitude engendrée par son anormalité, le héros sturgeonien puise dans son désespoir même les raisons de ne pas désespérer. Inlassablement, il lance des bouteilles à la mer, appels au secours qui, comme dans Une soucoupe de solitude (A saucer of loneliness, 1953, in Les songes superbes de Theodore Sturgeon, Casterman, 1978) trouvent leur écho. La rencontre entre deux êtres solitaires est un sujet cher à l'écrivain. Que l'on songe au débile mental de Parcelle brillante (Bright segment, 1955, in Livre d'Or) ou à la jeune fille atteinte d'un cancer dans Sculpture lente (Slow sculpture, 1971, in Livre d'Or). Mais comment communiquer, comment mettre bas les masques et jeter les vieilles défroques, les fausses pudeurs, tous les égoïsmes, comment atteindre ce noyau de l'être humain, cette partie de lui qui n'a pas peur, qui comprend et se fait comprendre ? Tout Sturgeon tourne autour de cette notion d'éveil : « Si, écrit-il dans La peur est une affaire (Fear is business, 1957, in La sorcière du marais, Nouvelles éditions Oswald, 1981), tout être humain, quels que soient sa langue, son âge, sa formation comprenaient exactement les désirs de tout autre humain et savait en retour qu'on le comprendrait aussi complètement, cela changerait la face de la Terre. En une nuit ».
          Dans sa quête de la communication optimum, il était inévitable que Sturgeon débouche sur le concept d'« individu collectif » dont le plus connu est l'Homo Gestalt enfanté dans le bouleversant roman Les plus qu'humains (J'ai Lu, More than human, 1953) : où comment un simple d'esprit, deux petites jumelles noires, une enfant télékinésique et un bébé mongolien découvrent qu'ils forment, à eux tous, un être nouveau aux immenses pouvoirs. Mais l'optimum, comme le rappelle L'homme hébété (Dazed, in Galaxie n° 93), un des tous derniers textes de l'auteur, ce n'est pas l'immobilisme, la « perfection » statique et mortifère, mais un état dynamique ressemblant au vol de la mouette ou à un surfer sur les vagues, mêlant souffrances et joies, noir et blanc, Yin et Yang dans un éternel mouvement.
          Oeuvre exemplaire que celle de Theodore Sturgeon, véritable « connaissance-fiction » qui prend sa source dans l'exil intérieur d'un enfant prénommé Edward Hamilton Waldo et s'épanouit dans la construction d'une Ethique adaptée à l'homme de demain...
 (Source : Denis GUIOT in Le Monde de la Science-fiction. 1987. Emprunté au site Noosfère).

 

Amour, impair et manque (1981)
Le Coeur désintégré (Sturgeon in Orbit , 1964)
Cristal qui songe (The Dreaming Jewels , 1950)
Les Enfants de Sturgeon (1977)
Fantômes et sortilèges (1978)
L'Homme qui a perdu la mer (1978)
Killdozer, suivi de Le viol cosmique (1971)
Le Livre d'Or de la science-fiction : Theodore Sturgeon (1978)
Méduse (1978)
Les Plus qu'humains (More Than Human , 1953)
Romans et nouvelles (2005)
Les Songes superbes de Theodore Sturgeon (1978)
La Sorcière du marais (1981)
Symboles secrets (1980)
Les Talents de Xanadu (The Worlds of Theodore Sturgeon , 1972)
Un peu de ton sang (Some of your blood , 1961)
Un soupçon d'étrange (1978)
Vénus plus X (Venus plus X , 1960)

  

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3 janvier 2015

THOMAS DAY

Les Continents Perdus      

2005 – Thomas DAY présente : 5 nouvelles de W.J. Williams, I.R. McLeod, M. Bishop, L. Shepard et G. Ryman                              
DENOEL, Coll. Lunes d'Encre n° 69 (2005) 448 pages - Traduction de Jean-Daniel BREQUE - Illustration de SPARTH

Si ce recueil vaut surtout pour les nouvelles de Shepard et Ryman, il forme un ensemble plutôt homogène et intéressant (merci à Jean-Daniel Brèque, traducteur toujours irréprochable). La nouvelle de Geoff Ryman, « le pays invaincu. Histoire d’une vie » est exceptionnelle. Par la forme et par le fond. Ryman plonge le Cambodge en guerre des années 70 dans l’océan du conte et, par la grâce de l’écriture et de l’imagination, parvient, au-delà de l’horreur et de la cruauté, à transcender la résistance d’un être humain à la souffrance la plus grande par les liens extraordinaires qui le lient à son environnement. Ce que j’ai lu de plus beau et de plus poignant depuis bien longtemps.

20 décembre 2014

DINO BUZZATI

Italie, 1906-1972. Il fait ses débuts dans le journalisme au Corriere della Sera, pour lequel il sera correspondant de guerre lors du second conflit mondial. En 1940 paraît son œuvre majeure, Le Désert des Tartares, qui rencontre immédiatement un succès mondial. Buzzati publie ensuite une série de contes, qui comprend notamment Les Sept messagers (1941), L'Écroulement de la Baliverna (1954), L'Image de pierre (1960), ainsi que des nouvelles – parmi lesquelles Le K, qui demeure la plus célèbre.
Buzzati avait également des talents de peintre et nous a laissé une singulière bande dessinée, intitulée Poèmes Bulles. Il est aujourd'hui unanimement considéré comme l'un des plus grands écrivains italiens.

 

Le K

1966Il colombre (nouvelles) - POCKET, Coll. Roman Etranger n° 3641 (2002) 448 pages  -  Traduction de Jacqueline REMILLET

Excellent recueil de nouvelles, je ne connaissais pas Buzzati, j’ai découvert un écrivain qui, s’il n’est pas à proprement parler, un auteur des littératures de l’imaginaire, flirte agréablement avec le fantastique. Celui-ci intervient dans le quotidien le plus banal et prend toute son ampleur dans la dernière nouvelle (voyage aux enfers du siècle) plus longue et plus dense que les autres. Les histoires sont extrêmement courtes, 2 ou 3 pages en moyenne, mais chacune contient un "quelque chose" que l’on retient. On entre dans ce livre progressivement, comme on pénètre dans les ruelles d’une ville inconnue que l’on s’approprie au fil des jours. Au fil des nouvelles, l’on s’approprie le monde à la fois lumineux, mélancolique et profondément humain de Buzatti et l’on s’y sent bien.

28 avril 2014

MAN

Une vidéo de décembre 2012, par Steve Cutts, un illustrateur brittanique plutôt doué. Un résumé à la fois effroyable et drôle de l'empreinte de l'homme sur notre chère terre. A voir absolument (dépressifs s'abstenir !).

MAN (Steve Cutts)

 

23 juin 2012

REVES PARTIES

Je suis né en Bretagne il y a un demi siècle. Je suis parti 15 ans et revenu (à ma grande joie) il y a peu, riche de milliers d'expériences vécues, lues, vues et plein de trucs en u. Je crois que j'ai toujours été attiré par l'ailleurs, le rêve, la mort, les mondes au-delà des mondes...

Je me suis posé beaucoup (euphémisme !) de questions et si j'ai trouvé des réponses dans les littératures de l'imaginaire qui ont bâti mes rêves, le cinéma, l'art en général et la peinture en particulier, le chant qui a été mon souffle et les voyages, ma porte, je me rends compte aujourd'hui que je n'ai jamais vraiment partagé tout cela. Pourquoi, me direz-vous ? Simple et tragiquement français, lors d'une conversation, vous exprimez en quelques mots votre passion, vos convictions et, très vite, votre interlocuteur (trice) se tait, ou devient distant et parfois agressif, on dénigre la SF, la Fantasy en les traitant d'enfantillages, on vous dit qu'on ne croit en rien... Au début, vous pensez vous être mal exprimé, et puis cela se reproduit encore et encore jusqu'au mur du silence final.

J'ai en tête une scène que j'ai vécu dernièrement et qui illustre parfaitement mon propos. Une jeune femme qui, lors d'une conférence de Pierre Bordage (écrivain français de Science-Fiction) invité par la bibliothèque de ma ville, a explosé en sanglots au moment de poser sa question à l'auteur. Elle l'a très bien dit par la suite, pouvoir parler librement, sans jugement, de sa passion a déclenché en elle un torrent d'émotions, refoulées depuis quand ?...

Bon, c'est bien joli tout ça, mais que trouvera t'on dans ce blog ! Eh bien, en gros, les thèmes de l'imaginaire livresque avec leurs auteurs fétiches (de mon point de vue évidemment), mon sentiment (plus qu'une véritable critique) quant à mes lectures, certains films qui y sont rattachés (ou pas) mais aussi, quelques textes, poèmes et dessins que j'ai produit au fil des ans, un petit aperçu de mon monde musical, bref, tout ce qui peut me sembler comestible (et suffisamment digeste).

"Arrête de rêver !", cette injonction est inscrite en lettres de feu au fronton de ma mémoire. On me le disait comme on m'aurait demandé d'arrêter de fumer. Non seulement je n'ai pas réussi (de fumer,si) mais, je vais tâcher, avec ce blog, de contaminer tous ceux qui s'égareront dans ses pages ! Comme dirait Christian Décamps, du groupe ANGE : le rêve est à rêver ! Alors, qu'attendons-nous ?!...

Joël.

Comme l'étoile filante, le mirage, la flamme, l'illusion magique, la goutte de rosée, la bulle sur l'eau ; comme le rêve, l'éclair ou le nuage : Considère ainsi toutes choses. (Bouddha).

 

31 mai 2012

LOVECRAFT HOWARD PHILLIPS

  Biographie

 (Etats-Unis, 1890-1937)

 
Lovecraft doit certainement à son enfance malheureuse l'inspiration de son oeuvre. Alors qu'il n'a que trois ans, son père est interné dans un hôpital psychiatrique où il décédera des suites d'une parésie. A 13 ans, Howard rédige une première nouvelle fantastique. Un bref séjour à New York lui donne l'occasion, à travers le cercle d'amateurs de fantastique qu'il fréquente, de publier un premier récit, 'Dagon'. Il y rencontre également sa femme, Sonia Green, dont il divorce rapidement. De retour à Providence, Lovecraft s'installe avec ses tantes. Les nouvelles qu'il écrit alors (la nuit, principalement) ne lui permettent pas de subvenir à son quotidien, mais il reste prolifique : en 1927 il rédige 'Démons et Merveilles', 'La Couleur tombée du ciel', puis 'L' Abomination de Dunwich', 'Celui qui chuchotait dans les ténèbres', 'Les Montagnes hallucinées', 'Dans l'abîme du temps' et 'Celui qui hantait les ténèbres'. Atteint d'un cancer de l'intestin, Lovecraft s'éteint à 47 ans dans une chambre d'hôpital. Son oeuvre symptomatique d'un profond malaise ne connaîtra le succès qu'après sa mort grâce au travail dévoué de ses admirateurs. Il est aujourd'hui considéré comme l'héritier d'Edgar Allan Poe, en même temps que sont stigmatisés son racisme et sa misanthropie. (Source : http://www.evene.fr)

« Rien ne me fascine tant que quelque curieuse interruption des lois de la nature, ou quelque monstrueuse intrusion dans notre monde familier d'entités inconnues venues de l'infini extérieur » : bonne auto-définition d'une oeuvre commencée professionnellement en 1922 avec "Herbert West, réanimateur" (Herbert West, reanimator in Dagon, J'ai Lu), et foisonnant en monstres sous-humains — tels les hommes-poissons du "Cauchemar d'Innsmouth" (The shadow over Innsmouth in La couleur tombée du ciel, Présence du Futur) — et surhumains — empruntés aux anciennes mythologies comme Dagon, ou en formant une nouvelle, comme Azathoth, Nyarlathotep, Cthulhu, Yog-Sothoth. La démarche habituelle d'une histoire de H.P. Lovecraft, c'est le passage de la curiosité à l'horreur, chez le lecteur, mais aussi chez le héros qui, appâté par quelque élément insolite, cherche à en savoir plus, et découvre une vérité insoutenable. Et « un jour viendra », lit-on au début de "L'Appel de Cthulhu" (The call of Ctbulhu, 1928 in Dans l'abîme du temps, Présence du Futur), « où la synthèse de ces connaissances dissociées nous ouvrira des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons ; alors, cette révélation nous rendra fous. »
          C'est ce qui est censé être arrivé à l'auteur d'une telle synthèse, Le Nécronomicon : Abdul al-Hazred. Or Lovecraft s'affublait de ce nom quand, enfant émerveillé par les Mille et une nuits, il jouait à l'Arabe. On pourrait donc penser que, premier découvreur de la vision d'ensemble distillée dans ses récits, il en a été la première victime. Mais il se déclare « complètement athée et matérialiste », et ajoute : « L'étrange et le surnaturel me fascinent d'autant plus que je n'en crois pas un mot. » Le visionnaire de génie n'était-il donc qu'un faiseur de talent ?
          D'abord, ses évocations — qui semblent relever du surnaturel comme la malédiction qui frappe génération après génération dans "L'Alchimiste" (in Dagon) — trouvent une explication, hors du commun certes, mais non hors de l'univers, et ses dieux et démons ne sont pas transcendants mais venus d'ailleurs : c'est de la science-fiction. Par ailleurs, Lovecraft, ne confondait pas ses inventions avec la réalité, mais (de son propre aveu rêvées avant d'être écrites) elles exprimaient sa vérité : sa crainte du monde extérieur (il a vécu toute sa courte vie en reclus à Providence), sa « xénophobie légendaire » et ses « préjugés ethniques » notés par Sprague de Camp, cependant que Damon Knight le qualifie d'« infirme sur le plan émotionnel ». Mais, sur le plan littéraire, ce géant a exploré un nouveau domaine — beauté d'un univers horrible — largement exploité ensuite par d'autres : Clark Ashton Smith, August Derleth, Brian Lumley, Colin Wilson.... Article de George W. BARLOW (Source : http://www.noosfere.org)


- Les Montagnes Hallucinées (At the Mountains of Madness, 1936) Avis

- L'Affaire Charles Dexter Ward (The case of Charles Dexter Ward , 1941)

- L'Appel de Cthulhu (En coll. avec August DERLETH) (Tales of the Cthulhu Mythos , 1969)

- La Couleur tombée du ciel (1954)

- Dagon (Dagon and other macabre tales, 1969)

- Dans l'abîme du temps (1954)

- Démons et merveilles (1955)

- Je suis d'ailleurs (1961)

- Le Masque de Cthulhu (En coll. avec August DERLETH) (The Mask of Cthulhu , 1958)

- L'Ombre venue de l'espace (En coll. avec August DERLETH) (1971)

 

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